Prof. Dr. Ir.
|
"La vérité demande du temps et des vérifications; le mensonge de la précipitation et de l'incertitude." --Tacitus |
BACK TO HOME PAGE |
RELATED SCIENTIFIC CONTRIBUTIONS |
L'impact des vaccins Covid-19 sur la surmortalité européenneNotre recherche basée sur les statistiques de surmortalité nous a amené très rapidement dans la crise à suggérer que la balance bénéfices-risques des injections était défavorable pour les moins de 45 ans (en Europe). Ceci a fait couler beaucoup d'encre (interviews, attaques, soutiens, réponses,...). Voici la chronologie de ces évènements, qui nous semble essentielle à la bonne compréhension du débat déclenché. Chronologie d'un Preprint qui influence les débats parlementaires sur l'obligation vaccinale
Le même jour, une vidéo Youtube de 7 minutes expliquant les résultats du preprint est diffusée avec pour objectif explicite d'interpeller le monde de la recherche sur le signal anormal de surmortalité des jeunes européens en 2021 (avant le débat sur l'obligation). Cette video atteindra plusieurs dizaines de milliers de vues en moins d'une semaine. Du 3 janvier au 11 janvier, de nombreuses critiques apparaissent sur twitter, principalement en provenance d'un étudiant français en santé publique. Je lui répondrai scientifiquement point par point quelques jours plus tard via Linkedin (le 12 janvier). Le 7 janvier, invité pour une interview vidéo BAM (Belgian Alternative Media), je lance l'alerte sur l'inaccessibilité aux données de statut vaccinal des décédés, qui permettrait pourtant d'(in)valider notre hypothèse d'une toxicité potentielle des injections. Le 12 janvier, ma réponse point par point aux attaques scientifiques sur twitter de la semaine précédente est diffusée sur mon profil Linkedin public. Le 19 janvier, Peter Doshi, Professeur de santé publique en Angleterre, demande les données brutes concernant les vaccins. Le 25 janvier, un groupe de statisticiens de mon université (appelé le Risk Assessment Group COVID-19 Uliege) m'envoie un ensemble de 7 commentaires/suggestions concernant mon preprint. Aucune de ces suggestions n'invalidera ni ne contredira mes resultats (et certaines d'entre elles sont même malheureusement incorrectes). Cependant j'y répondrai un mois plus tard à travers mes présentations publiques du 24 février et du 10 mars. Pour information, voici les commentaires du RAG-Uliege. Le 26 janvier, le Parlement démarre le débat sur l'obligation vaccinale. Le 26 janvier encore, Eric Muraille s'adjoint d'une liste de scientifiques pour attaquer mon interview BAM dans la presse Belge. Le 30 janvier, après que le journal m'ait refusé mon droit de réponse, je diffuse ma réponse en pdf sur linkedin. Cette réponse sera ensuite publiée sur le site Web de BAM. Le 31 janvier, Eric Muraille poste un lien vers le cache google d'un texte de collègues qui ne sera jamais diffusé (et c'est pourquoi seul le cache permet d'y accéder). Le site web des "vaccino-rationalistes associés" divulguera son contenu. On peut y lire ici une série de reproches, vérifiablement incorrects (la raison probable de sa non-diffusion par les autorités de l'université). Le 1er février, Eric Muraille se manifeste encore dans un autre journal bien connu, afin de dénoncer que le parlement Belge ne devrait pas écouter mes arguments. Il lancera aussi une procédure disciplinaire à mon encontre (il invoque des raisons déontologiques: je n'aurais pas été assez clair sur le fait que je m'exprime en mon nom propre lors de mes interviews...). Heureusement mon dossier sera ultérieurement classé sans suite par le recteur de mon université. J'obtiendrai aussi mon droit de réponse dans ce journal. Dans les jours qui suivront, aucun consensus sur l'obligation vaccinale ne sera obtenu au Parlement. Les hospitalisations Covid des 65+ vaccinés (2 doses) dépassent pour la première fois celles des non-vaccinés dans le rapport sciensano hebdomadaire, ce qui pose déjà question comme en témoigne ma réponse a une remarque aggressive faite sur mon profil public. Le 14 février, Eric Muraille se manifestera une dernière fois publiquement, assisté notamment par des chercheurs de mon institution. Ils publieront leur texte dans deux journaux: d'abord ici et le lendemain ici. J'obtiendrai plus tard un droit de réponse dans ces deux journaux. Le 21 février, une réponse (indépendante de moi) aux attaques d'Eric Muraille du 1er février apparait dans la presse. Le 23 février, le media alternatif Kairos Press prends ma défense lors d'une émission d'investigation sur les attaques ad hominem que j'ai subies. Le 24 février, avec l'aide de Pierre Chaillot (statisticien Français) et Patrick D. (consultant en strategie), je présente des nouveaux résultats confirmant les précédents, à la conférence de presse du COCICO (le COCICO est un conseil scientifique qui questionne le narratif COVID en Belgique). Nos résultats seront publiés dans un ouvrage collectif (en octobre). Le 28 février, Laurent Toubiana, épidémiologiste, demande au sénat Français le statut vaccinal des décédés (comme dénoncé dans mon interview BAM du 7 janvier), il cite et utilise, entre autres, nos resultats et preprint pour justifier de cette demande. Il obtiendra malheureusement un refus. Le 10 mars, je présente encore de nouveaux résultats au CSI numéro 46 (le CSI étant un conseil scientifique qui questionne le narratif COVID en France). Une partie de ces résultats seront aussi publiés ultérieurement dans le livre de Pierre Chaillot (en janvier 2023). Le 22 mars, en l'absence de consensus, l'obligation vaccinale COVID semble ecartée. D'avril à septembre, grâce à mes avocats, j'obtiendrai tous mes droits de réponse dans la presse Belge, comme celui-ci. En aout, Sciensano annonce le retrait des taux de mortalité Covid de ses rapports hebdomadaires alors même que la mortalité des 65+ vaccinés (2 doses) dépasse depuis plusieurs semaines celle des non-vaccinés. En septembre, Pierre Wolper, Recteur de l'Université de Liège, prends sa retraite mais avant de partir, il classe la plainte d'Eric Muraille sans suite en rappelant, aussi bien en interne qu'en public, l'importance fondamentale du principe de liberté académique (comme on peut le constater dans son discours de 11:27 à 18:00). En octobre, notre livre collectif fait avec le COCICO est publié. En novembre, je donne une une interview au magazine Biotempo (numero 55). En décembre, aucun article scientifique n'a encore invalidé nos statistiques.
Au contraire, plusieurs publications majeures ont des résultats en forte concordance avec nos conclusions, par exemple:
2023En janvier, le livre de Pierre Chaillot sur les statistiques de la crise COVID est publié. J'ai personnellement contribué à son chapitre sur la surmortalité. Des résultats que j'ai présenté au CSI 46 (le 10 mars) y sont d'ailleurs retranscrits. Dans les mois qui suivent, la potentielle toxicité de la protéine spike (hypothèse déjà avancée dans ma video du 2 janvier 2022) semble de plus en plus crédible. De février à septembre, cinq preprints et articles dénoncent une surmortalité de 2022 potentiellement associée aux vaccinations de 2021
Début septembre, la chaine youtube "Decoder l'eco" cite le preprint et discute les nouvelles données anglaises. Fin septembre, Jean-Marc Sabatier, infectiologue, confirme l'absence du prétendu consensus scientifique autour des vaccins COVID. En octobre, je soumets avec Pierre Chaillot un article qui confirme l'intégralité de mes résultats précédents. Il sera accepté pour publication après triple revues par des pairs et présenté en décembre lors la 7e conférence internationale de Bioinformatique et de Biologie Computationelle (ICCBB23). En novembre, une nouvelle publication fournit un chiffre qui vient encore confirmer nos résultats: une augmentation (X4) de décès dus à des événements cardiovasculaires chez les sujets vaccinés par rapport au placebo. Le Dr Vibeke Manniche, lors de la conference de presse du 21 novembre au Parlement Européen, confirme que des lots d'injections furent extremement mauvais en terme de remontées d'effets secondaires et de mortalité. Un statisticien néo-zélandais du nom de Young ayant eu accès aux statuts vaccinal des décès de son pays prétend que certains lots ont entrainé une mortalité de 10 à 20% mais il risquerait plusieurs années de prison s'il relache ces données. Steve Kirsch discute cette question clé de l'accès aux statuts vaccinal des morts. En décembre, (cad deux ans aprés notre préprint initial) la dernière soumission (d'octobre) est acceptée. Voici la version française de la présentation (video) faite à ce sujet lors d'ICCBB23. 2024En février, cet article investigue des mécanismes moléculaires qui pourraient expliquer certaines de nos statistiques. Le 7 mars, ACM publie les proceedings d'ICCBB23 et le 13 mars, notre papier est sélectionné pour diffusion sur la plateforme KUDOS. le 17 mars, mon chapitre sur la surmortalité en Europe est publié aprés revision par des pairs, aux editions de demilune dans l'ouvrage intitulé: "Un autre regard sur le Covid19" |