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L'impact des vaccins Covid-19 sur la surmortalité européenne
Raccourci vers mes communications grand public principales:
(interview youtube - juin 2024)
(chapitre de livre - février 2024)
(interview magazine - novembre 2022)
(droits de réponse - mai 2022)
(interview sur BAM TV - janvier 2022)
Notre recherche basée sur les statistiques de surmortalité nous a amené très rapidement dans la crise à suggérer que la balance bénéfices-risques des injections est défavorable pour les moins de 45 ans (en Europe). Ceci a fait couler beaucoup d'encre (interviews, attaques, soutiens, réponses,...). Voici la chronologie de ces évènements, qui nous semble essentielle à la bonne compréhension du débat déclenché. Les publications scientifiques et médiatiques qui corroborent nos résultats y sont aussi mentionnées.
Chronologie d'une recherche qui influence des débats parlementaires
Fin 2021, quatre preprints ont déjà constaté une surmortalité potentiellement liée à la vaccination Covid:
En parallèle, plusieurs articles publiés dénoncent des risques potentiels graves associés à la protéine spike, comme par exemple ceux-ci:
En Belgique, en décembre:
2022
Le 2 janvier 2022, mon preprint (de décembre) dénonçant une possible implication de la vaccination dans la surmortalité anormale des jeunes adultes européens en 2021, est déposée avec un DOI sur la plateforme publique ResearchGate
Le même jour, une vidéo Youtube de 7 minutes expliquant les résultats du preprint est diffusée avec pour objectif explicite d'interpeller le monde de la recherche (en urgence avant le débat sur l'obligation vaccinale). Cette video atteindra plusieurs dizaines de milliers de vues en moins d'une semaine.
Le 7 janvier, invité pour une interview vidéo BAM (Belgian Alternative Media), je lance l'alerte sur l'inaccessibilité aux données de statut vaccinal des décédés,
qui permettrait pourtant d'(in)valider notre hypothèse d'une toxicité potentielle des injections.
Du 8 janvier au 11 janvier, des critiques apparaissent sur twitter, principalement en provenance d'un doctorant français. Je lui répondrai scientifiquement point par point via Linkedin (le 12 janvier). En parallèle, le preprint reçoit aussi via ResearchGate une première recommandation publique (en provenance d'une docteure en analyse quantitative et démographie).
Le 19 janvier, Peter Doshi, Professeur de santé publique en Angleterre, demande les données brutes liées aux vaccins.
Le 25 janvier, un groupe de statisticiens de mon université (appelé le Risk Assessment Group COVID-19 Uliege) m'envoie un ensemble de 7 commentaires/suggestions concernant mon preprint. Aucune de ces suggestions n'invalidera ni ne contredira mes resultats (et certaines d'entre elles sont incorrectes). J'y répondrai un mois plus tard à travers mes présentations publiques du 24 février et du 10 mars.
Pour information, voici les commentaires du RAG-Uliege.
Le 26 janvier, le Parlement démarre le débat sur l'obligation vaccinale.
Le 26 janvier encore, Eric Muraille s'adjoint d'une liste de scientifiques pour m'attaquer, via un journal Belge. Après que le journal m'ait initialement refusé mon droit de réponse, ce dernier sera publié sur le site Web de BAM. Mes avocats obtiendront six mois plus tard la publication d'un autre droit de réponse dans le journal initial.
Le 31 janvier, Eric Muraille poste (sur twitter) un lien vers le cache google d'un texte de collègues qui ne sera jamais diffusé (et c'est pourquoi seul le cache permet d'y accéder).
Le site web des "vaccino-rationalistes associés" divulguera son contenu.
On peut y lire ici une série de reproches, vérifiablement incorrects (la raison probable de sa non-diffusion par le recteur de l'université).
Le 1er février, Eric Muraille se manifeste encore dans un autre journal bien connu, afin de dénoncer que le parlement Belge ne devrait pas écouter mes arguments.
Il lancera aussi une procédure disciplinaire à mon encontre (il invoque des raisons déontologiques: je n'aurais pas été assez clair sur le fait que je m'exprime en mon nom propre lors de mes interviews...).
Heureusement mon dossier sera (en septembre) classé sans suite par le recteur de mon université. J'obtiendrai aussi mon droit de réponse dans ce journal.
Le 4 février, Sam Brokken, expert en santé publique au parlement Belge, partage mon preprint (discussion sur l'obligation vaccinale, 39ième minute).
Dans les jours qui suivront,
Le 14 février, Eric Muraille se manifestera une dernière fois dans la presse à mon encontre, assisté notamment par des chercheurs de mon institution.
Ils publieront leur texte dans deux journaux:
d'abord ici et
le lendemain ici. J'obtiendrai plus tard un droit de réponse dans ces deux journaux.
Le 21 février, une réponse (indépendante de moi) aux attaques d'Eric Muraille du 1er février apparait dans la presse, signée par le dr. Cantineau.
Le 23 février, le media alternatif Kairos Press prends ma défense lors d'une émission d'investigation sur les attaques ad hominem que j'ai subies.
Le 24 février, avec l'aide de Pierre Chaillot (statisticien Français) et Patrick D. (consultant en strategie),
je présente des nouveaux résultats confirmant les précédents, à la conférence de presse du COCICO (le COCICO est un conseil scientifique qui questionne le narratif COVID en Belgique). Nos résultats seront publiés dans un ouvrage collectif (en octobre).
Le 28 février, Laurent Toubiana, épidémiologiste, demande au sénat Français le statut vaccinal des décédés (comme dénoncé dans mon interview BAM du 7 janvier), il cite et utilise, entre autres, nos resultats et preprint pour justifier de cette demande.
Il obtiendra malheureusement un refus.
Le 10 mars, je présente encore de nouveaux résultats au CSI numéro 46 (le CSI étant un conseil scientifique qui questionne le narratif COVID en France).
Une partie de ces résultats seront aussi publiés ultérieurement dans le livre de Pierre Chaillot (en janvier 2023).
- Le 13 mai, un article de presse pointe toute l'ironie de propos tenus le 14 et 15 février à mon encontre en soulignant des conflits d'intérêt non-déclarés chez mes détracteurs.
D'avril à septembre,
En septembre, Pierre Wolper, Recteur de l'Université de Liège, prends sa retraite mais avant de partir, il classe la plainte d'Eric Muraille sans suite en rappelant, aussi bien en interne qu'en public, l'importance fondamentale du principe de liberté académique (comme on peut le constater dans son discours de 11:27 à 18:00).
En octobre, notre livre collectif fait avec le COCICO est publié.
En novembre, je donne une une interview au magazine Biotempo (numero 55). Seize mois plus tard, en mars 2024, Eric Muraille y réagit par un post public sur X.com.
En décembre, les données issues de compagnies d'assurance allemandes confirme une forte hausse de morts subites en 2021 et 2022.
2023
En janvier, le livre de Pierre Chaillot sur les statistiques de la crise COVID est publié. J'ai personnellement contribué à son chapitre sur la surmortalité. Des résultats que j'ai présenté au CSI 46 (le 10 mars) y sont d'ailleurs retranscrits.
De février à septembre, cinq preprints et articles dénoncent une surmortalité de 2022 potentiellement associée aux vaccinations de 2021
- en Australie (juin),
- dans tout l'hémisphere sud (septembre).
- en parallèle, la potentielle toxicité de la protéine spike (hypothèse déjà avancée dans ma video du 2 janvier 2022) se confirme.
En juin, l'infectiologue Jean-Marc Sabatier, invité par Karl Zero donne un mécanisme par lequel la protéine spike pourrait être responsable de cancers fulgurants (voir de 24:14 à 25:30).
Début septembre, la chaine youtube "Decoder l'eco" cite le preprint et discute les nouvelles données anglaises.
Fin septembre, Jean-Marc Sabatier, infectiologue, confirme l'absence du prétendu consensus scientifique (et la censure) autour des vaccins COVID.
En octobre, je soumets avec Pierre Chaillot un article qui confirme l'intégralité de mes résultats précédents. Il sera accepté pour publication après triple revues par des pairs et présenté en décembre lors la 7e conférence internationale de Bioinformatique et de Biologie Computationelle (ICCBB23).
En novembre, une nouvelle publication fournit un chiffre qui vient encore confirmer nos résultats:
une augmentation (X4) de décès dus à des événements cardiovasculaires chez les sujets vaccinés par rapport au placebo.
Le Dr Vibeke Manniche, lors de la conference de presse du 21 novembre au Parlement Européen, confirme que des lots d'injections furent extremement mauvais en terme de remontées d'effets secondaires et de mortalité.
En décembre, un statisticien néo-zélandais du nom de Barry Young ayant eu accès aux statuts vaccinal des décès de son pays prétend que certains lots ont entrainé une mortalité dépassant les 10% mais il risquerait plusieurs années de prison s'il relache ces données. Steve Kirsch discute cette question clé de l'accès aux statuts vaccinal des morts.
Une publication sur les datas japonaises montre un changement significatif dans le sex-ratio des jeunes adultes décédés endéans les 10j de leur vaccination, reflètant un lien probable entre injections et mortalité.
Ceci fait écho à cet article du soir du 15 janvier 2022 (2 semaines après le preprint).
2024
Le 6 mars, Eric Muraille poste une reaction "collector" à mon interview Biotempo de novembre 2022.
Le 13 mars, notre papier est sélectionné par l'éditeur ACM pour diffusion sur la plateforme KUDOS.
Le 17 mars, mon chapitre sur la surmortalité en Europe est publié aprés revision éditoriale, dans l'ouvrage intitulé: "Un autre regard sur le Covid19".
En avril, une large étude retrospective publiée dans le journal Vaccine montre une multiplication par 6+ de problèmes cardiovasculaires endéans 42 jours de la vaccination.
Le 9 juin, la chaine youtube de Pierre Chaillot nous reçoit pour discuter du processus de publication particulier de la crise covid.
Le 2 juillet, je passe à Substack pour continuer ce fil d'actualité car tous mes droits de réponse de 2022 ont été effacés de Linkedin (les textes restent toujours accessibles de cette page-ci mais les commentaires et likes ont donc disparus de la plateforme).
En parallèle, de mai à septembre, les journaux scientifiques et les médias de masse commencent à s'intéresser aux effets secondaires graves et aux surmortalités:
- d'abord dans le New York Times et ici en video dans le One India News (suite au retrait d'un vaccin à adenovirus),
- une publication dans eClinicalMedecine semble montrer que chaque exposition à la spike-vaccinale crée de nouveaux covid longs. Cette information sera corroborée mi-juin par un ancien directeur du CDC lors d'une interview youtube: "la protéine spike est immunotoxique",
- le BMJ publie un article de surmortalité qui trouvera un echo dans le Telegraph et le New York Post, (il sera donc source de polémique)
- une méta-analyse de rapports d'autopsie publiée montre un lien hautement probable (70+%) de causalité entre injections et décès, cet article sera cependant rétracté deux mois plus tard par l'éditeur (unilatéralement) puis re-publié en novembre ici
- un journal scientifique publie une réduction statistiquement significative de l'espérance de vie des vaccinés sur des données italiennes,
- une emission française discute les revirements de plusieurs discours scientifiques (plusieurs hypothèses passent du statut "désinformation" à "probable"),
- une base de données de pharmacovigilance Européenne hackée révèlerait des surmortalités et accidents graves liés à la vaccination (et observables depuis 2021).
- Dr. A. Malhotra (UK), attaqué au coeur de la crise, affirme sur youtube qu'une hausse de problèmes cardiaques en 2021 chez les 16-39 ans était associée aux vaccins.
- Dr. J. Bhattacharya (US), attaqué au coeur de la crise, affirme sur youtube que dès 2021 la balance bénéfices-risques était clairement négative pour les jeunes.
Debut octobre, Naomi Wolf relâche une analyse de bigpharma-papers, l'infertilité, les problèmes cardiaques et la mortalité y sont tous mentionnés comme effets secondaires constatés par la firme dès 2021.
Mi octobre, un preprint réanalyse les datas fournies à la FDA de l'un des vaccins mrna et obtient une conclusion inverse de la firme: les risques liés au vaccin l'emportent clairement sur les bénéfices pour les hommes de 18 à 25 ans (en bonne santé).
Fin octobre, un étude observationnelle rétrospective suggère que la combinaison de variables COVID19+dose1 serait le meilleur prédicteur de l'emergence de problèmes cardiaques aigus chez les jeunes coréens.
Novembre, des documents du RKI (le CDC-allemand) montrent qu'ils savaient dès le Q1 2021 qu'un vaccin multipliait par 20 le risque de thrombose chez les hommes (voir minute 18'30).
Fin novembre, suite à sa nomination (par Trump) pour diriger le NIH, le Dr. J. Bhattacharya (cité plus haut) expose le dilemme de santé publique crée par la crise.
Décembre, un rapport officiel aux US critique toute la gestion de la crise covid, en ce compris les campagnes de vaccination.
2025
Mi janvier, BAM rassemble 250+ études confirmant la toxicité de la protéine spike.
Fin janvier, Fauci est pardonné préemptivement, en parallèle la commission EU commande 140+ millions de nouvelles doses pour de potentielles urgences.
Février, Pierre Chaillot sort son nouveau livre: "Victimes des vaccins covid 19" dans lequel il cite le preprint de 2021 et notre publication de 2023 (cf p.85).
Mars, Jeffrey Sachs déclare sur youtube que le virus est "très probablement" artificiel.
Mi mars, Bernard Rentier exprime dans sudinfo "il ne fallait pas confiner et vacciner tout le monde".
Mi mars, je suis interviewé dans "vers l'avenir".
Fin mars, le biostatisticien M. Kulldorff (coauteur de la déclaration de GB et subséquemment viré de Harvard) publie des recommandations pour la NIH.
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